mardi 3 mai 2011

Ecoute la musique de nos coeurs étonnés
On dirait que le vent qui souffle dans les cimes
Ivre de poésie s'accroche à chaque rime
Et troublant le silence dévoile nos pensées

Si seulement je pouvais, lorsque j'entends ta voix
Et que je sens ton souffle faire taire mon désir
Oublier que je t'aime ne serait-ce qu'une fois
Mais je sais que je vis parce que toi tu respires

Et ce n'est pas ma faute si chaque son la nuit
Est comme un mot d'amour que je voudrais t'écrire
Si chaque frémissement de nos mains qui se lient
Résonne dans le noir comme un cri de plaisir

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