mercredi 23 avril 2008
Vérité
Pleurer ! Hurler ! Courir sans trêve ni repos
Vers un bonheur qu'on croit possible et beau
Mais au moindre faux pas, la face contre terre
Comprendre que toujours, ivre de larmes amères
On trébuche et s'effondre, repart, et retombe toujours
Les poings rageurs frappant le vent, jusqu'au jour
Où l'on reste allongé en travers de la route
Recouvert de poussière et de médiocrité
Que l'on a ramassée au hasard de ses doutes
En trouvant plus facile de fuir la vérité
De se voiler la face, et de se retourner
Pour rouler de nouveau dans le même fossé
Que l'on avait de ses ongles, de ses larmes, creusé
Et mourir dans la boue qu'on a jamais quittée.
Something's missing
Dunno why I write this... Don't even know whether you'll read it. I just want you to know that Paris is grey, so grey... There's something missing on the Champs-Elysées. A marmot den perhaps ? Nope, they tell us she's hibernating under the great Arch-thing. Paris ist Blumenlos... I'm trying to imagine what you're doing, up in the north... Not too cold I hope ?
And never forget : "If you're going through hell... keep going."
Miss you
A biscotte with a shape of bear.
Tempest
En cas de tempête la banquise sera fermée
"Lors de grand froid, les manchots forment « la tortue » : ils se rassemblent en groupe compact, limitant ainsi en périphérie le contact avec l'air. Une rotation s'organise entre les manchots du bord et ceux du centre afin que ce ne soit pas toujours les mêmes individus qui soient exposés au froid."Mais comment ils font, en cas de tempête ?
Je ne sais plus
J'ai le coeur au bord des lèvres, à moins que ce ne soit sur la main, je ne sais plus
Envie d'écrire comme je respire, ou crier que je t'aime, je ne sais pas
Pourquoi toi parmi tant d'autres, mais l'ai-je jamais su ?
Une ombre passe sur mon âme, ce n'est pas la première fois
Et je ne peux pas dire que c'est ta faute à toi
Si dès le premier jour c'est vers ton seul visage
Que j'ai tourné mes yeux porteurs d'un fol espoir
Si je voudrais passer mes nuits sur les rivages
Que quelquefois tes yeux me laissent aperçevoir
Si j'aime tant saisir les éclats de ton rire
Comme on saisit au vol les feuilles qui tournoient
Si j'ai si peur parfois que mon coeur n'expire
A battre comme un fou aux échos de ta voix...
Envie d'écrire comme je respire, ou crier que je t'aime, je ne sais pas
Pourquoi toi parmi tant d'autres, mais l'ai-je jamais su ?
Une ombre passe sur mon âme, ce n'est pas la première fois
Et je ne peux pas dire que c'est ta faute à toi
Si dès le premier jour c'est vers ton seul visage
Que j'ai tourné mes yeux porteurs d'un fol espoir
Si je voudrais passer mes nuits sur les rivages
Que quelquefois tes yeux me laissent aperçevoir
Si j'aime tant saisir les éclats de ton rire
Comme on saisit au vol les feuilles qui tournoient
Si j'ai si peur parfois que mon coeur n'expire
A battre comme un fou aux échos de ta voix...
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